détresse dentaire (et un peu plus)
Publié : 17 nov. 2022, 14:19
Avertissement préambule: pardon d'avance, j'ai été très longue, et pas sûre d'être claire et précise.
Bonjour de 2 isolées, dont la douce Squonk, toujours vivante (en soi, un petit miracle), présentée ici viewtopic.php?p=108953&hilit=squonk#p108953 .
Résumé : notre configuration de foyer tresse pas mal d’éléments défavorables « fouifament parlant ». Devenue Fufu unique, Squonk aboutit au transfert familial improvisé aux mains de Fam-Squonk, dont le tableau est bien décourageant, avec: initialement, ignorance totale de l’univers des fouifs ; géographiquement, mal-habitat en plein centres villes du sud-ouest (Gironde/Bordeaux puis Lot-et-Garonne /Agen) ; socialement, précarité prononcée (catégorie « survivante de burn-out » devenue « travailleur pauvre »).
Atout principal au service de Miss Fouifette : une curiosité empathique pour tout ce qui vit. Cela, alimenté par une formation de biologiste (domaine végétal) dans une première vie, et, une deuxième vie plus tard, une reconversion en soignante (domaine langage et communication). Et bien sûr, au centre, l’amour de Squonk, indéfectible, tenace, réciproque.
Ce tout est emmuré d’angoisse face à une situation de santé, localisée au niveau digestif haut, qui ne cesse de nous plomber (avec ou sans jeu de mot, au choix). Au départ, c’est la découverte du croc supérieur droit, très abîmé, en juin 2019. Un peu plus d’un an après son extraction, ce qui ressemble, a posteriori, à un cycle de récidives et d’effets rebonds s’enclenche.
D’abord fin d’été 2020 : une inflammation gingivale majeure au niveau dudit croc, dont il s’avère qu’un fragment non extrait subsistait dans l’os. Après un automne-hiver 2020 de flux serré et continu de rechutes infectieuses et interventions dentaires, le bilan semble stabilisé au niveau buccal de ce côté. Squonk est édentée du croc et de la carnassière supérieurs droits depuis fin 2020. Lors de ces mots, elle y présente une gencive nue bien sûr, plutôt rose en haut et en bas.
Cependant, depuis l’été 2020, le système digestif haut semble très fragile plus largement : elle ne passe pas un mois sans être sujette à au moins un épisode de régurgitation d’un dernier repas, fût-il distant de plus d’une ou 2 heures. L’hypothèse d’irritation gastrique et tentative de soulagement par apport de phosphaluvet, ponctuel ou plus régulier, n’enraye rien quand je le tente (avec l’aval vétérinaire). Pas plus, l’initiation d’un traitement sur prescription vétérinaire pour explorer l’hypothèse d’un reflux gastro-œsophagien (recapture d’inhibiteur de pompe à protons, bref ce registre-là médicamenteux-là). Les traitements soit courants (vermifugation, antiparasitaires, vaccination) et les phases de convalescence de soins qui se succèdent en 2020 et 2021 sont tels qu’à cette période, la couverture probiotique fortiflora ne connaît que des phases d’interruption. En juillet 2021, lasse et inquiète des régurgitations envahissantes dont Squonk souffre, j’insiste pour une exploration radio ou échographique du tube digestif. Bien m’en prend, le jour du rendez-vous l’état de Squonk a brutalement empiré depuis l’avant veille. Elle présente alors une masse laryngée de 2 cm en plein milieu du larynx, aucune intervention vétérinaire directe autre qu’un traitement infectieux n’est possible. Un mois plus tard, résorption totale de cette masse, pas de trace séquellaire sensible à la palpation.
Le vétérinaire (celui de Cestas, pas inconnu des fufus de l’ouest) court depuis 2020 après la santé en yoyo mystérieux de cette furette. Mais depuis l’automne 2021, bien que j’y retourne pour le suivi de base (vaccination, détartrage) au premier trimestre 2022, l’accès m’en ai très coûteux, je suis sur Agen.
Et j’en viens (enfin!) à ces jours-ci. Déjà, à 2 mois du détartrage de soin courant, j’étais un peu déçue. La carnassière supérieure droite était à nouveau très encrassée (couleur gris verdâtre). Et cela fait plus de 2 mois maintenant que je trouve la gencive de ce côté droit,, quand je soulève pour voir vers ce fond, au niveau de la carnassière : c’est plutôt couleur d’inflammation, rougeâtre, avec l’impression qu’une masse gingivale commence à recouvrir la carnassière. Hier je me suis demandé si la base du croc supérieur droit ne commençait à son tour à enfler.
Pardon d’interrompre si brutalement, j’ai été très longue en rédactionnel, et je vais être en retard au tuf.
Je voudrais planifier un nouveau soin vétérinaire en une journée. Je n’ai que le mardi en semaine pour être totalement libre pour le faire, au moindre coût.
Avis à la communauté : un avis, un conseil ?
Merci d’avoir lu jusqu’ici.
Pout, pout.
Bonjour de 2 isolées, dont la douce Squonk, toujours vivante (en soi, un petit miracle), présentée ici viewtopic.php?p=108953&hilit=squonk#p108953 .
Résumé : notre configuration de foyer tresse pas mal d’éléments défavorables « fouifament parlant ». Devenue Fufu unique, Squonk aboutit au transfert familial improvisé aux mains de Fam-Squonk, dont le tableau est bien décourageant, avec: initialement, ignorance totale de l’univers des fouifs ; géographiquement, mal-habitat en plein centres villes du sud-ouest (Gironde/Bordeaux puis Lot-et-Garonne /Agen) ; socialement, précarité prononcée (catégorie « survivante de burn-out » devenue « travailleur pauvre »).
Atout principal au service de Miss Fouifette : une curiosité empathique pour tout ce qui vit. Cela, alimenté par une formation de biologiste (domaine végétal) dans une première vie, et, une deuxième vie plus tard, une reconversion en soignante (domaine langage et communication). Et bien sûr, au centre, l’amour de Squonk, indéfectible, tenace, réciproque.
Ce tout est emmuré d’angoisse face à une situation de santé, localisée au niveau digestif haut, qui ne cesse de nous plomber (avec ou sans jeu de mot, au choix). Au départ, c’est la découverte du croc supérieur droit, très abîmé, en juin 2019. Un peu plus d’un an après son extraction, ce qui ressemble, a posteriori, à un cycle de récidives et d’effets rebonds s’enclenche.
D’abord fin d’été 2020 : une inflammation gingivale majeure au niveau dudit croc, dont il s’avère qu’un fragment non extrait subsistait dans l’os. Après un automne-hiver 2020 de flux serré et continu de rechutes infectieuses et interventions dentaires, le bilan semble stabilisé au niveau buccal de ce côté. Squonk est édentée du croc et de la carnassière supérieurs droits depuis fin 2020. Lors de ces mots, elle y présente une gencive nue bien sûr, plutôt rose en haut et en bas.
Cependant, depuis l’été 2020, le système digestif haut semble très fragile plus largement : elle ne passe pas un mois sans être sujette à au moins un épisode de régurgitation d’un dernier repas, fût-il distant de plus d’une ou 2 heures. L’hypothèse d’irritation gastrique et tentative de soulagement par apport de phosphaluvet, ponctuel ou plus régulier, n’enraye rien quand je le tente (avec l’aval vétérinaire). Pas plus, l’initiation d’un traitement sur prescription vétérinaire pour explorer l’hypothèse d’un reflux gastro-œsophagien (recapture d’inhibiteur de pompe à protons, bref ce registre-là médicamenteux-là). Les traitements soit courants (vermifugation, antiparasitaires, vaccination) et les phases de convalescence de soins qui se succèdent en 2020 et 2021 sont tels qu’à cette période, la couverture probiotique fortiflora ne connaît que des phases d’interruption. En juillet 2021, lasse et inquiète des régurgitations envahissantes dont Squonk souffre, j’insiste pour une exploration radio ou échographique du tube digestif. Bien m’en prend, le jour du rendez-vous l’état de Squonk a brutalement empiré depuis l’avant veille. Elle présente alors une masse laryngée de 2 cm en plein milieu du larynx, aucune intervention vétérinaire directe autre qu’un traitement infectieux n’est possible. Un mois plus tard, résorption totale de cette masse, pas de trace séquellaire sensible à la palpation.
Le vétérinaire (celui de Cestas, pas inconnu des fufus de l’ouest) court depuis 2020 après la santé en yoyo mystérieux de cette furette. Mais depuis l’automne 2021, bien que j’y retourne pour le suivi de base (vaccination, détartrage) au premier trimestre 2022, l’accès m’en ai très coûteux, je suis sur Agen.
Et j’en viens (enfin!) à ces jours-ci. Déjà, à 2 mois du détartrage de soin courant, j’étais un peu déçue. La carnassière supérieure droite était à nouveau très encrassée (couleur gris verdâtre). Et cela fait plus de 2 mois maintenant que je trouve la gencive de ce côté droit,, quand je soulève pour voir vers ce fond, au niveau de la carnassière : c’est plutôt couleur d’inflammation, rougeâtre, avec l’impression qu’une masse gingivale commence à recouvrir la carnassière. Hier je me suis demandé si la base du croc supérieur droit ne commençait à son tour à enfler.
Pardon d’interrompre si brutalement, j’ai été très longue en rédactionnel, et je vais être en retard au tuf.
Je voudrais planifier un nouveau soin vétérinaire en une journée. Je n’ai que le mardi en semaine pour être totalement libre pour le faire, au moindre coût.
Avis à la communauté : un avis, un conseil ?
Merci d’avoir lu jusqu’ici.
Pout, pout.