Reflexion sur notre rapport aux animaux
Publié : 20 janv. 2017, 17:08
Aujourd'hui je suis allé faire un tour dans une animalerie. Résultat : en 30 secondes un vendeur a réussi à me convaincre de partir sans rien acheter pour des raisons que vous connaissez mieux que moi de répétition d'idées reçues fausses et négatives.
Je me suis donc fait la réflexion suivante : comment peut-on avoir des à priori aussi négatifs sur un animal, donc le furet, que nous ne connaissons visiblement pas ? Je me suis rappelé que moi même, alors que je n'y connaissais rien, n'avais un avis ni positif, ni négatif, je me suis donc surpris de ces certitudes implantées dans l'esprit des gens.
Puis j'ai poussé ma réflexion plus loin : ah bon, je n'ai aucun à priori négatif ? Moi qui parlait des serpents comme des bestioles froides et sans affection l'autre jour IRL ? Après tout, qu'en sais-je ? Peut-être que ce sont des animaux d'une grande sensibilité mais qu'il est difficile pour eux de l'exprimer en des termes compréhensible par l'humain. Et que dire des guêpes, je les déteste, tout comme la plupart des insectes. Je ne suis donc pas loin de ces personnes qui critiquent le furet de façon subjective puisque j'agis ainsi pour d'autres animaux. Peut-être qu'un animal, sorti de sa lutte pour sa survie, comme l'Homme aujourd'hui, peut se livrer pleinement en affection, sans animosité, quelque qu'il soit. Peut-être qu'un jour nous aurons des mantes religieuse de compagnie !
Ma réflexion est donc la suivante : plutôt que de s'indigner de l'ignorance d'une personne qui remet en cause ce que nous aimons, il faudrait se reconnaître en son ignorance pour chercher à la combler.
(Si je dis ça c'est parce que j'ai eu envie de baffer ce type alors que je n'ai pas encore le même rapport affectif au furet que vous, si vous entendez ça toute la journée depuis des années.... je vous félicite pour avoir réussi à ne pas commettre un meurtre !)
Je me suis donc fait la réflexion suivante : comment peut-on avoir des à priori aussi négatifs sur un animal, donc le furet, que nous ne connaissons visiblement pas ? Je me suis rappelé que moi même, alors que je n'y connaissais rien, n'avais un avis ni positif, ni négatif, je me suis donc surpris de ces certitudes implantées dans l'esprit des gens.
Puis j'ai poussé ma réflexion plus loin : ah bon, je n'ai aucun à priori négatif ? Moi qui parlait des serpents comme des bestioles froides et sans affection l'autre jour IRL ? Après tout, qu'en sais-je ? Peut-être que ce sont des animaux d'une grande sensibilité mais qu'il est difficile pour eux de l'exprimer en des termes compréhensible par l'humain. Et que dire des guêpes, je les déteste, tout comme la plupart des insectes. Je ne suis donc pas loin de ces personnes qui critiquent le furet de façon subjective puisque j'agis ainsi pour d'autres animaux. Peut-être qu'un animal, sorti de sa lutte pour sa survie, comme l'Homme aujourd'hui, peut se livrer pleinement en affection, sans animosité, quelque qu'il soit. Peut-être qu'un jour nous aurons des mantes religieuse de compagnie !
Ma réflexion est donc la suivante : plutôt que de s'indigner de l'ignorance d'une personne qui remet en cause ce que nous aimons, il faudrait se reconnaître en son ignorance pour chercher à la combler.
(Si je dis ça c'est parce que j'ai eu envie de baffer ce type alors que je n'ai pas encore le même rapport affectif au furet que vous, si vous entendez ça toute la journée depuis des années.... je vous félicite pour avoir réussi à ne pas commettre un meurtre !)