Alors je viens mettre mon grain d'éthologie là-dedans et donc de science du comportement animal...ce que je veux dire c'est qu'un animal son seul objectif de base c'est procréer pour perdurer l'éspèce si sa portée disparait il s'en ramait très vite pour retomber en chaleur et pouvoir s'occuper d'une nouvelle portée. Donc une espèce animal qui ne pourrait pas surmonter la pertes de ces petits très vite ne survivrait pas! ce sont des animaux pas des humains ils n'on pas du tout le même fonctionnement cérébrale que nous! Après je ne pars pas dans tous le sens je dit simplement que c'est idiot de ne pas cautionner quelque chose alors qu'a côté on cautionne d'autre chose soit équivalente soit pire. c'est ma façon de pensé^^ bon je préfère m'arréter là sinon ça va partir n'importe comment^^.
Etant comportementaliste, lire un truc pareil me fait bondir au plafond, et étant présidente de l'asso, doublement...
En effet, les animaux ne sont pas tous humains (et heureusement pour eux), MAIS les humains sont des animaux.
Comme le chien et le furet, l'humain est un mammifère prédateur (quoiqu'en disent tous les végétaliens extrémistes du monde) et social. Il a donc des comportements de prédations et de recherche de nourriture tout comme le chien et le furet (nous on chasse, on fait notre potager ou on va au supermarché), l'humain a aussi des comportements sociaux tout comme le chien et le furet : on élève les petits en groupe, la préservation des petits est primordiale pour l'espèce, un réel lien affectif se crée entre les mammifères sociaux car le groupe c'est la sécurité, c'est tout, et retirer des petits à un mammifère social déclenche un stress inimaginable. Il en est de même pour les grands herbivores (bovins, gnous, etc).
Pour les petits herbivores, il est vrai que c'est différent. La survie de l'espèce ne dépend pas de la protection des petits mais de la quantité de petits qu'on fait et se dire qu'une partie survivra...
Et il est reconnu que le furet ou le chien, par exemple, ressentent les mêmes émotions de base que nous (c'est reconnu scientifiquement) et ces émotions sont : la joie, la tristesse, le dégoût, la peur, la colère et la surprise.
Mais il est également reconnu qu'ils ne les gèrent pas pareillement. Un animal continuera de vivre généralement, même s'il a le coeur brisé. Mon compagnon, Marcus, a connu une petite chienne de ferme quand il était enfant. Cette petite chienne était très joyeuse et gentille. Et puis comme elle n'était pas stérilisée et qu'elle "courait", un jour elle est revenue avec ses petits, ils étaient déjà grands mais ses propriétaires lui ont retiré ses chiots et les lui ont tués. Elle a passé des jours entiers à les chercher, elle a été très malheureuse au début, puis elle a repris le cours de sa vie, mais elle était brisée, jamais plus elle n'a remué la queue, ni montré des signes de joie ou de contentement, elle était comme "éteinte", alors oui elle vivait, mais avec le coeur brisé... les animaux ont cette force, qui manque parfois à certains humains qui ne sont pas armés pour supporter les grandes douleurs de la vie et qui préfèrent y mettre un terme... je ne sais pas si c'est toujours une qualité...
A méditer

